Sofirex déploie un IP-PBX et l'intègre avec la messagerie électronique
Le cabinet d'expertise comptable Sofirex a migré vers un système de téléphonie sur IP couplé à Outlook via un plug-in. À la clé, une seule infrastructure pour deux sites et une gestion unifiée de la présence.
Le cabinet Sofirex (Société Fiduciaire Régionale d'Expertise Comptable) emploie 34 personnes réparties sur deux sites. Il était équipé d'un PBX classique devenu désuet et souhaitait acquérir un système de communication qui combinerait emails et fonctions téléphoniques. « Le vieillissement de ce système et le déménagement de notre site distant nous ont conduits à opter pour la téléphonie IP, seule à même d'équiper simultanément les deux cabinets et de partager le réseau avec les données », explique Thierry Barnet, associé du cabinet. La gestion de présence étendue à tous les employés Utilisant Outlook comme principal logiciel de communication, Sofirex a retenu un IP-PBX (Siemens HiPath OpenOffice ME) proposant un plug-in qui permet de l'intégrer. A partir du client de messagerie de Microsoft, les utilisateurs ont ainsi la possibilité de gérer conférences, télécopies, fonctions de télétravail et états de présence (réunions, déplacements, congés). Collaborateurs et clients sont ainsi informés en temps réel, visuellement et par un message vocal, de la disponibilité de chaque employé. Menée par l'intégrateur Phalcom, la migration a été découpée en six étapes : - installation et paramétrage de l'IP-PBX et intégration avec Windows TSE. - installation des téléphones et des applications serveurs (durant cette phase, les deux systèmes de téléphonie fonctionnaient en parallèle). - installation des logiciels. - bascule en trois jours vers le nouveau système. - démontage de l'ancien système et finition des branchements. - formation des utilisateurs aux nouveaux téléphones et logiciels. Plusieurs sources d'économies Le coût du projet s'est élevé à 35 000 euros pour 50 postes, soit 700 euros par trimestre sur 5 ans, donc 11 euros par mois par poste. « Plusieurs sources d'économies ont émergé. Les coûts des communications intersites sont nuls et l'achat d'un deuxième système téléphonique a été évité, tout comme l'abonnement téléphonique sur le second site », conclut déclare Thierry Barnet.