Nokia toujours premier du classement Greenpeace
Nokia conserve à nouveau sa place de leader dans le classement Greenpeace des entreprises électroniques éco-responsables, le Guide to greener electronics, paru le 26 mai. Sony Ericsson et Philips, ex-aequo avec Motorola lui emboîtent le pas. Nintendo ne parvient pas à décoller de sa dernière place.
Nokia conserve confortablement sa première place dans le classement Greenpeace des entreprises éco-responsables. Avec une moyenne de 7,5/10, le Finlandais retrouve sa note de septembre 2009 après avoir vu sa note légèrement reculer en janvier dernier, lors du dernier classement (7,3). L'ONG salue ainsi les efforts du constructeur pour avoir supprimé plusieurs composés chimiques nocifs de ses produits comme les composés bromés.
Sony Ericsson conserve sa deuxième place gagnée en début d'année avec une moyenne de 6,9/10. Il est suivi par Philips qui monte d'un rang et Motorola (+3 places) "uniquement parce que les autres entreprises baissent dans le classement", précise Greenpeace.
Apple, Panasonic, Sony et HP referment ex-aequo le Top 5. L'entreprise de Steve Jobs conserve sa place de numéro 5 mais en voyant sa note diminuer par rapport au dernier classement. La marque à la pomme repart pour cette 15ème édition du classement des entreprises high-tech responsables avec une note de 4,9 alors qu'à la dernière parution, il avait récolté à peine plus que la moyenne (5,1).
Depuis son entrée dans le classement l'an dernier, le fabricant de consoles Nintendo ne décolle pas de sa dernière place.
Depuis août 2006, Greenpeace publie son Guide to greener electronics qui établi un classement des 18 plus grandes entreprises d'électronique (ordinateurs, téléphones portables, télévision, consoles de jeux) selon leur comportement éco-responsable. Ce classement se base sur différents critères respectant trois grands principes que les compagnies sont priées de suivre : rendre leurs produits propres en éliminant toute substance chimique nocive, récupérer et recycler de façon responsable leurs produits obsolètes et réduire l'impact de leurs produits et de leurs actions sur le climat.
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