Le Coq Sportif optimise son trafic télécoms entre six sites internationaux
Le Coq Sportif, marque de vêtements de sport, se développe à l'international et nécessite des liens télécoms performants. Plutôt que d'augmenter les débits, la firme a opté pour des boîtiers d'optimisation placés sur ses six sites.
Le Coq Sportif, marque leader de vêtements de sport, est engagée dans un processus de consolidation de son informatique. Dans le même temps, la société se développe à l'international et se doit de posséder des accès télécoms performants. Ses équipes sont dispersées entre plusieurs petits sites d'une dizaine de personnes et doivent partager de volumineux fichiers de conception et des illustrations. Afin de doper les performances de son réseau VPN (déployé à base de technologie Checkpoint), Le Coq Sportif a décidé de placer des boîtiers d'optimisation et de compression des flux. Un boîtier principal a été installé au siège de Entzheim (Bas-Rhin), où se trouve une centaine de personnes, et des boîtiers secondaires sur les sites de Paris (marketing et ventes) et de quatre implantations internationales (Etats Unis, Espagne, Italie, Taïwan). L'accès télécoms du siège est important avec un lien en fibre optique à 10 Mbit/s. Le site américain dispose également de haut débit (4 Mbit/s). A Paris, on trouve une ligne symétrique SDSL à 1 Mbit/s, à Taïwan (1 Mbit/s - 2 Mbit/s), Espagne (512 Kbit/s - 8 Mbit/s) et Italie (512 Kbit/s - 2 Mbit/s). Les équipements retenus sont d'origine Riverbed. Les transferts de données se mesurent désormais en minutes et non plus en heures. Les boîtiers d'optimisation éliminent également le trafic inutile. Lors de l'étude du réseau, le responsable informatique du Coq Sportif, Steve Schmitt, a écarté l'augmentation de la bande passant de son réseau - trop coûteuse - et le recours à la solution WANScaler de Citrix. Les gains réalisés via l'installation de boîtiers, « se sont avérés suffisants pour couvrir l'investissement ", déclare-t-il. Il termine : «Les économies sont réalisées en évitant le coût des mises à niveau de la bande passante, et en réduisant le coût de l'administration de l'informatique. À elles seules, les économies en coûts de bande passante, résultant de la réduction de la quantité de données qui transite par le WAN, ont suffi à financer notre investissement. L'optimisation de la bande passante et l'accélération du protocole ont considérablement amélioré le débit».