La vidéo-protection a le vent en poupe en île de France
Sur l'année et demi écoulée, les déploiements de systèmes de caméras pour de la vidéo-protection se sont bousculés en île de France à la demande des municipalités. C'est ce qui ressort de la liste des réalisations du bureau d'études Altetia. La société a piloté une douzaine de chantiers d'infrastructures multi-services voix données images et de vidéo-protection.
A Franconville et à Sannois, il s'agit de la première mise en oeuvre d'un projet de vidéo-protection commun aux deux villes. Le chantier concerne 60 caméras et un CSU (Centre de supervision urbaine) commun.
A Meaux, a eu lieu la mise en oeuvre d'une vidéo-protection avec 119 caméras, 91 bâtiments raccordés, 7 km de fibre et un réseau multi-services - fibres optiques, voix, données, sécurité. A Noisy le Grand, c'est la mise en oeuvre de 50 caméras pour 50 bâtiments raccordés, avec 9 km de fibres et un réseau multiservices pour la diffusion des flux voix, données, images.
A Montmorency, ce sont les bailleurs sociaux de la Vallée de Montmorency qui ont demandé le déploiement d'une vidéo-protection. A Goussainville, la ville étudie le renouvellement de l'ensemble des infrastructures de communication multi-services et de sécurité, réseau, de téléphonie et de vidéo-protection constitué de 55 caméras.
Enfin, pour la ville de Montereau-Fault-Yonne, il s'agit d'un nouveau réseau de transport optique et la mise en oeuvre du nouveau CSU et de 14 nouvelles caméras de vidéo-protection.
Photo : la salle de vidéo-protection de Montereau (D.R.)