Au coeur des Cloud privés de cinq grandes entreprises françaises
Pourquoi le Cloud privé séduit-il tant de managers de systèmes d'information en France? Parce qu'il répond aux multiples questions que suscite le Cloud public en ce qui concerne la confidentialité des données, la qualité de service ou la réversibilité.
En créant un Cloud privé, les entreprises bénéficient d'un déploiement rapide de nouvelles applications. Elles entendent également réduire leurs coûts grâce à la mutualisation des infrastructures destinées à tous leurs métiers et à toutes leurs filiales. Mais elles se privent a priori d'un atout souvent vanté du Cloud public: la baisse linéaire de la facture d'une application donnée au fur et à mesure que le nombre de ses utilisateurs décroit.
Un fort impact sur la DSI
La création d'un Cloud privé est un travail de longue haleine qui impacte fortement l'organisation d'une DSI et les compétences de ses informaticiens. Un lourd travail de standardisation matérielle et logicielle doit être réalisé: migration vers des plateformes x86, adoption d'un socle logiciel d'hébergement commun, création d'un portail de réservation de ressources, automatisation poussée des processus et montée en compétences des équipes. Il peut même être nécessaire d'adopter de nouvelles manières de développer des applications, en intégrant les mécanismes internes du Cloud.
Cela n'a pas arrêté le groupe PSA Peugeot Citroën, ni Sanofi-Aventis ni Axa Technology Services. Quant au Groupement des Mousquetaires, il dispose désormais d'une infrastructure prête pour des applications délivrées à la demande. Et Crédit Agricole Corporate Investment Banking s'appuie sur un Cloud privé pour ses équipes de développement.
Sanofi Aventis remet tout à plat
Sanofi-Aventis est un exemple essentiel. Toute l'informatique de ce géant de la pharmacie est remise à plat actuellement, dans trois nouveaux ...
Lire la suite dans le n° 34 de CIO, en version téléchargeable
Dans le numéro 34 de CIO, 8 décideurs IT partagent leur expérience en matière de Cloud privé et les bonnes pratiques associées :
- Benoit Tiers, CTO de Sanofi Aventis,
- Oliver Kruse, en charge du Service Delivery EMEA de Sanofi Aventis,
- Jean-Pascal Cousin, en charge du Change Management chez Sanofi Aventis,
- Jean-Pierre Dumoulin, CTO de PSA Peugeot-Citroën,
- Ashley Bear, en charge du Business Developpement chez Axa Technology Services,
- Hubert Tournier, adjoint à la DOSI du Groupement des Mousquetaires,
- Sylvain Desgoutte, responsable des infrastructures chez CA CIB,
- Patrick Joubert, en charge des infrastructures à la Société Générale, et en charge du groupe Cloud Computing au CRIP
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